Pour les 17-22 ans

Du 17 au 22 juillet 2023 à Compiègne (60)

 

Tarif : 320€ / jeune

Tarif solidaire libre au-dessus de 320€ (aide un jeune à participer) : un reçu fiscal vous sera adressé

Tarif solidarité : 220€ / jeune

La question financière ne doit pas empêcher votre inscription (solidarité possible) !

 

Inscription 1è année : bernard.bonnefoi@gmail.com

Inscription 2è année : edith.guesdon@orange.fr

En savoir plus

 

Le journal LA VIE parle de nous (juin 2022): pour télécharger l’article

« Que des bons souvenirs !!! Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour faire des km intérieurs : à CLER Jeunes j’ai fait mes découvertes les plus décapantes !   

5 jours pour prendre soin de soi, sortir du quotidien, réfléchir à l’essentiel : Qu’est-ce qu’il y a de beau en moi ? Mes projets pour avancer dans la vie ? Comment les mettre en œuvre ? Je ne vois plus la France de la même manière: j’ai des liens forts avec d’autres jeunes d’un peu partout ! Ces amitiés sont un roc solide sur lequel je peux m’appuyer.

Un cadeau pour la vie !!! »

Armelle

La solitude dans le couple : bienfait ou souffrance? Isabelle du Ché | 29 juin 2018

Être à deux, tout partager, vivre toujours ensemble des moments de qualité, se comprendre à demi-mots… Halte au rêve, la vie en couple n’est pas la fusion ! Elle nécessite de savoir être seul parfois. Comment trouver le juste équilibre entre une nécessaire solitude et celle qui tue la relation conjugale ? Aleteia a interrogé Marie-Aude Binet, conseillère conjugale et sexologue.

Aleteia : Quels sont les bienfaits de la solitude dans la vie conjugale ?
Marie-Aude Binet :
 Les bienfaits sont multiples : se sentir bien avec soi-même, faire ce qu’on aime, se retrouver soi-même pour mieux revenir vers et/ou comprendre l’autre, prendre du recul dans les conflits, mieux supporter les périodes d’absence du conjoint…

Suite à une mutation professionnelle, Patrick a été séparé géographiquement de sa femme pendant la semaine. Ressentant de la solitude, il a cherché à la combler avec une autre femme. Prenant conscience de l’impasse d’une telle situation et de la souffrance ainsi engendrée, cet époux a essayé de comprendre ce qui l’avait poussé à l’infidélité. Il a réalisé qu’il ne savait pas être seul. Dans son enfance — heureuse au demeurant — il n’avait aucun espace pour lui. Sa mère était très présente affectivement. Il a alors décidé de s’octroyer régulièrement un temps seul, en pratiquant un sport jusque-là délaissé. Son équilibre s’est ainsi rétabli. C’est aussi Julie, femme très active dans sa famille et au travail. Elle ressentait des angoisses affectives importantes, liées notamment à un événement douloureux dans son enfance. Le simple fait de s’autoriser une pause, seule, pour prendre un thé à la terrasse d’un café, l’a reconnectée avec elle-même. Elle s’était autorisée à prendre soin d’elle, en choisissant ce qui lui faisait du bien.

Être seul, se sentir seul, quelle différence ?
Nous venons de le voir, être seul procure de nombreux bienfaits et peut éviter un épuisement physique et psychologique. Mais il est fréquent qu’on se sente seul dans un couple. C’est tout à fait normal, parce que l’autre ne peut pas tout combler. La relation conjugale ne peut pas être le seul lieu de ressourcement et d’épanouissement. Ayant compris cela, Caroline a appris, avec le temps, à trouver dans sa vie amicale et professionnelle, les ressources de reconnaissance nécessaires à son équilibre. Elle a pu ainsi ajuster sa relation conjugale à sa vie personnelle et ne pas être esclave d’un sentiment de solitude.

Il existe plusieurs formes de solitude. Expliquez-nous.
La première forme de solitude non choisie est la solitude affective. C’est par exemple quand l’un se plaint d’être toujours moteur pour initier ou entretenir un dialogue. C’était aussi le cas de Chantal, 58 ans, qui souffrait de prendre systématiquement l’initiative d’une relation sexuelle. Dans ces différentes situations, le conjoint meurtri peut ainsi être tenté de trouver ailleurs l’écoute, la tendresse, la conversation qui lui font défaut. Il peut aussi s’installer dans le couple une forme de cohabitation où chacun garde ses distances vis à vis de l’autre et plus rien n’est partagé.

On remarque aussi chez les couples une solitude psychologique ou relationnelle. En voici deux exemples. Bruno, à l’âge de 35 ans, a perdu son père puis son frère à peu de temps d’intervalle. Il s’est senti très seul pour traverser ce deuil. Sa femme était jalouse du temps qu’il passait avec sa famille et n’a pas su être à l’écoute de la souffrance de son époux. Adèle, arrivée à 25 ans de mariage, et ayant mis entre parenthèses sa vie professionnelle pour se consacrer à l’éducation des enfants, s’est sentie épuisée d’avoir tout porté. Elle avait le sentiment de ne pas avoir été écoutée par son conjoint. La reconnaissance pour son investissement lui faisait cruellement défaut. Elle avait envie d’autre chose mais ne savait pas comment faire. Il lui a fallu apprivoiser cette solitude, aller vers l’extérieur pour se renforcer.

La troisième forme de solitude est la solitude géographique. Difficile de ne pas l’éprouver quand les époux sont séparés à cause d’un travail, de la maladie de l’un ou l’autre, de la santé des parents ou d’un enfant, de difficultés financières… Chacun souffre d’être seul et ce n’est pas seulement celui qui reste à la maison. Le rythme de vie – avec le travail, les enfants, la maison, les amis, les loisirs, la paroisse…-ne permet pas toujours de prendre du recul ou de s’arrêter à deux. Le défi sera donc de confronter les deux solitudes et de trouver, chacun selon ses désirs et possibilités le temps nécessaire au renforcement du lien conjugal, qu’est-ce qui ferait du bien A NOUS DEUX ?  Chacun pourrait alors faire un pas vers l’autre en partageant ce qui rend heureux l’autre, et inventer aussi un espace propre au couple : une soirée par mois programmée en tête à tete ( « les enfants c’est LA soirée de Papa et Maman »), un déjeuner en ville, un we en confiant les enfants si on le peut, etc…. Se poser la question : « comment prendre soin de son couple autant qu’on essaye de prendre soin de soi ? », quelle est le besoin de l’autre, qu’est ce qui lui fait plaisir ? »

Si le CLER peut soutenir la vie affective, c’est grâce à vous !

Chers donateurs,

Vous rêvez de jeunes «bien dans leur peau» et «bien dans leur tête», qui savent aimer, s’engager, construire…

Vous croyez à l’amour durable et savez que la vie conjugale a besoin d’être soutenue.

Votre soutien nous permet d’agir !

C’est grâce à votre soutien dans la durée que nous pouvons continuer à former en interne nos éducateurs, nos moniteurs et nos conseillers conjugaux.
C’est grâce à vos encouragements que nos équipes se mobilisent sur le terrain.
Grâce à vous, les jeunes, les couples et les familles peuvent continuer à bénéficier de toutes les actions du CLER.

Le CLER, c’est :

– 4 pôles dédiés à l’éducation à la vie, la vie de couple, la fertilité et les jeunes.

– 70 équipes réparties sur 60 départements pour aider et accompagner les jeunes, les couples et les familles.

– Une formation initiale, une formation continue, et une vie d’équipe pour assurer la qualité et la pérennité des interventions de nos bénévoles.

Nous vous remercions chaleureusement pour votre soutien fidèle qui nous accompagne et nous permet de réaliser nos missions dans la durée.

Après une année difficile, nos activités redémarrent progressivement, et nous en mesurons plus que jamais la nécessité :
– de nombreux jeunes sont en souffrance
– des familles sont éprouvées par les confinements et le climat d’inquiétude.

Votre soutien nous est essentiel !

MERCI pour votre aide !

Claude Fruchart, Président

JE SOUTIENS LE CLER, JE FAIS UN DON :
Rendez-vous sur le site du CLER www.cler.net 
ou cliquer sur : « Je fais un don»

Le CLER est une Association non lucrative reconnue d’utilité publique et d’intérêt général. Votre don ouvre droit à une réduction fiscale de 66% de son montant.

 

L’entrée en collège, c’est toute une aventure pour un enfant. Comment gérer ce lot de changements pour l’aider à vivre cette étape le mieux possible.

Écoutez les conseils de Christiane Behaghel, conseillère conjugale et familiale du CLER, dans une chronique sur RCF

Dans un couple, on n’est pas forcément d’accord. Qu’est-ce que ça cache et comment trouver un équilibre ?

Écoutez les conseils de Christiane Behaghel, conseillère conjugale et familiale du CLER, dans une chronique sur RCF.

Un article particulièrement intéressant de Maylis Duffaut, conseillère conjugale du CLER, paru dans LA CROIX du 8 janvier 2020.

Pour le lire, cliquez sur le lien suivant : Une année pour s’émerveiller en couple

Retrouvez toutes nos propositions sur notre site : www.cler.net :

> Atelier Communiquer en couple les 08-09 février 2020 à Paris

> Parcours Communiquer et décider en couple les 07-08 mars et 04-05 avril 2020 à Paris

> Atelier Vivre en couple aujourd’hui les 14-15 mars 2020 à Paris

> Atelier Couple à la retraite les 18-19 mars 2020 à Paris

> Parcours Etre parent aujourd’hui

> Parcours Vivre en Couple

> Session Oser être Soi pour les jeunes de 17 à 22 ans : les 20 au 25 juillet 2020 à Troyes

> Atelier de sensibilisation et d’approfondissement à l’écoute.

Une session aura lieu à Tarbes les 22 et 23 septembre 2018.

Informations et inscriptions en cliquant ici.

Parents, grands-parents, professeurs,

Tic Tac Tic Tac… plus que 3 jours pour influencer le ministre. Faites vite circuler ce message autour de vous !

Et s’il suffisait de rendre « invisibles » les téléphones pour endiguer le raz-de-marée de la pornographie à l’école ?

Cela règlerait aussi l’explosion de problèmes liés à l’invasion des smartphones : (cyber) harcèlement, vols, rackets, chocs psychologiques, troubles de l’attention, montée de la violence, échec scolaire…

Si ce n’est pas déjà fait, signez la pétition « NON À L’USAGE SANS CONTRÔLE DES SMARTPHONES À L’ÉCOLE » pour rejoindre les 53 473 parents déjà mobilisés :

Et surtout, transférez cette information à tous vos proches !

Chaque minute compte.

Voici ce qu’il a révélé…

Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, a reconnu sur France Inter [1]:

JMB : […] aujourd’hui, pendant les cours de récréation au collège, on va être – quand c’est autorisé – sur son smartphone, lequel smartphone comporte parfois des images pornographiques […]

…et il ne s’est pas arrêté là !

Sur Europe 1, il a dénoncé la gravité de la situation [2]:

Journaliste : [… Lutte contre le cyber-harcèlement, lutte contre la pornographie aussi, puisque c’est ça qui conditionne l’image qu’ont justement nos ados, nos enfants par rapport aux stéréotypes hommes-femmes ?

JMB : Bien entendu, c’est un sujet gravissime ! Aujourd’hui il y a accès à la pornographie à des âges de plus en plus jeunes.

Journaliste : On dit 11 ans, le “premier contact”.

JMB : Oui, même, malheureusement parfois pire. Mais même à 11 ans, c’est extrêmement jeune, évidemment. Donc il est évident que nous devons agir sur ce point. […]

Jamais un ministre n’avait osé en parler aussi ouvertement.

Le Président de la République s’est aussi fendu d’un tweet incisif [3]:

Autant dire que ça bouge dans les hautes sphères !

Depuis 2010 [4], la loi interdit les téléphones portables en classe, mais seulement en classe… et ça ne suffit pas !

Il faut vraiment interdire leur usage dans l’enceinte de tous les collèges et écoles de France en signant la pétition.

La solution #PortablesInvisibles

Une solution simple fonctionne déjà dans des établissements pionniers.

Le principe ? Les portables doivent rester “invisibles”.

Éteints et rangés au fond du sac. Confisqués, s’ils sont vus ou entendus.

En pratique, les règles sont respectées. Les enfants tiennent à leur objet fétiche comme à la prunelle de leurs yeux !

Une responsabilité partagée :

  • Les parents gardent la liberté de confier un téléphone à leur enfant. La condition ? Aucun appareil ne doit créer de nuisances à l’école.
  • Les adultes en milieu scolaire s’assurent de protéger tous les élèves qui leur sont confiés. Ils le font déjà pour les autres objets dangereux ou addictifs (alcool, tabac).

Cette solution est respectueuse des libertés, responsabilisante pour tous, efficace et rapide à mettre en place.

Elle ne nécessite aucun investissement, contrairement à celles envisagées par le ministre de l’Éducation nationale.

Un directeur de Collège-Lycée de 1300 élèves témoigne :

« La mise en oeuvre #PortablesInvisibles n’a rien coûté, au contraire… nous avons gagné du temps. Il y a 5 ans, j’avais 30 à 40 téléphones portables dans mon coffre-fort. En ce moment, il n’y en a que 2. »

Parents, grands-parents, professeurs, travaillons “main dans la main” pour généraliser au plus vite la solution #PortablesInvisibles partout en France !

Le moment pour agir, c’est MAINTENANT !

Il ne reste plus que quelques jours pour pousser le ministre à adopter cette solution qui a fait ses preuves.

Il faut à tout prix éviter que l’interdiction d’usage des smartphones à l’école ne tombe à l’eau.

Si la voie retenue par Jean-Michel Blanquer est trop chère ou trop compliquée à mettre en place, elle sera retardée, voire annulée ! Des millions d’enfants seraient encore en danger.

Nous n’avons donc que très peu de temps pour organiser un déferlement de signatures supplémentaires.

Nous sommes déjà plus de 50 000. Si chacun persuade 1 personne de nous rejoindre, nous serons… 100 000 ! C’est, d’après nos sources, un seuil psychologique important pour le ministère.

Avouez que trouver 1 personne dans votre entourage, parmi les dizaines de parents et grands-parents que vous connaissez, ça devrait être rapide.

Ce problème de société est reconnu publiquement par le ministre.

Il est désormais plus facile d’alerter familles, voisins, collègues et parents des camarades de vos enfants… de ce qui se passe vraiment à l’école et au collège.

Peut-être arriverez-vous à convaincre 3, ou même 5 personnes ?

Imaginez combien nous pourrions être si chacun partage à 10 ou 20 amis et que ça fait boule de neige !

Ce qu’il vous reste à faire…

Envoyez cette information à vos contacts.

Avec un mot d’accompagnement, c’est encore plus efficace.

Nous devons retrouver, partout en France, un environnement serein pour un enseignement de qualité. Libérons l’école des nombreux problèmes que posent les téléphones portables.

C’est aujourd’hui, maintenant, que vous devez agir !

La victoire est à portée de main. Nous comptons sur vous,

Pierre Garnier 
– Collectif “Alerte Enfants Écrans” –

SOURCES

[1] : Jean-Michel Blanquer sur France Inter (Nov. 2017) : « Un des facteurs de réussite, c’est la convergence des valeurs entre l’école et les parents » [2’33 – 3’00]

[2] : Violences faites aux femmes sur Europe 1 (Nov. 2017) : Blanquer veut « être à l’offensive sur ce sujet » [1’53 – 2’15]

[3] : Message incisif du Président de la République sur Twitter (Nov. 2017)

[4] : Interdiction de l’usage des téléphones mobiles dans les écoles et les collèges – Code de l’éducation (2010)

 

L’équipe du CLER TOULOUSE était invitée le 8 novembre 2017 par RADIO PRÉSENCE TOULOUSE pour participer à l’émission VIVANTE ÉGLISE.

Vous pouvez écouter (ou ré-écouter) cette émission en cliquant ci-dessous :

Le projet fondateur du CLER s’appuie sur des valeurs humanistes et une vision positive de l’homme, de l’amour humain et de la sexualité. Il est en totale cohérence avec le projet de l’éducation catholique.

Nous vous recommandons vivement la lecture de « L’éducation affective, relationnelle et sexuelle dans les établissements catholiques d’enseignement ».

Pour l’ouvrir, cliquez ici.